LA GARE FRANCHE



COMMANDITAIRE : Ville de Saint-Denis, île de La Réunion < saint-denis.re >.
PROJET : Appel d’offres réalisé par la mairie de la plus grande ville de l’outre-mer français pour le visuel de l’édition 2007 du festival Cité Jeunes.
Pour cet événement dédié à la jeunesse, j’ai mixé les codes hip-hop et les références à la chevalerie médiévale (blason, couronne, rouleau, quête du héros). J’ai aussi redessiné une ville ludique composée de bâtiments bien connus des jeunes dyonisiens : l’hôtel de ville de Saint-Denis, la faculté de droit, lettres et sciences humaines du campus universitaire de Moufia, les tours « carrés cubes » de la Source, ainsi qu’un immeuble empruntant à l’architecture créole traditionnelle.
LA GARE FRANCHE ? En vue de construire les bases d’une nouvelle charte graphique, j’ai choisi de revenir au logotype de la société pour d’abord redéfinir un code couleur bleu / vert basé sur le contraste dégradé bleu / aplats verts, ensuite une logique d’encarts à bords arrondis basée sur la lettre « C » de Cycléa.
V.1 (avec rabat), v.2, et finalement v.3... les différentes étapes de construction d’une couverture avec un parti-pris graphique radical : la circularité.
J’ai souhaité installer le principe systématique d’organisation de l’information autour d’une fenêtre circulaire, dans et de laquelle surgit l’illustration de couverture. Cette fenêtre circulaire (le « O » d’Odpaam) revendique une forme de douceur, de tolérance, et l’ouverture « oecuménique » du cercle, forme à l’oeuvre dans l’ensemble de la charte du magazine.
Si la focalisation sur la culture israëlienne et la diaspora juive est assumée, Odpaam ambitionne l’ouverture au monde, des contributions politiquement divergentes, une curiosité sans limites et une forme d’anti-communautarisme. La large place laissée aux illustrateurs et aux contributeurs indépendants permet d’aiguiser notre regard sur la société israëlienne, ses aspirations et ses contradictions.
Hip hop et quête chevaleresque dans une ville ré-imaginée : le visuel de l’événement amitionne de toucher au coeur le jeune public et les adolescents.
Hip hop et quête chevaleresque dans une ville ré-imaginée : le visuel de l’événement amitionne de toucher au coeur le jeune public et les adolescents.
M’inspirant des encarts réalisés à la main sur la devanture de la boutique, mais aussi des encarts (publicitaires ou autres) utilisés dans les journaux de la première moitié du XXème siécle, j’ai imaginé un système de « briques » indépendantes les unes des autres et qui seraient appelées pour nourrir le contenu de chaque page.
Hip hop et quête chevaleresque dans une ville ré-imaginée : le visuel de l’événement amitionne de toucher au coeur le jeune public et les adolescents.
Hip hop et quête chevaleresque dans une ville ré-imaginée : le visuel de l’événement amitionne de toucher au coeur le jeune public et les adolescents.
M’inspirant des encarts réalisés à la main sur la devanture de la boutique, mais aussi des encarts (publicitaires ou autres) utilisés dans les journaux de la première moitié du XXème siécle, j’ai imaginé un système de « briques » indépendantes les unes des autres et qui seraient appelées pour nourrir le contenu de chaque page.
Hip hop et quête chevaleresque dans une ville ré-imaginée : le visuel de l’événement amitionne de toucher au coeur le jeune public et les adolescents.
Hip hop et quête chevaleresque dans une ville ré-imaginée : le visuel de l’événement amitionne de toucher au coeur le jeune public et les adolescents.
Hip hop et quête chevaleresque dans une ville ré-imaginée : le visuel de l’événement amitionne de toucher au coeur le jeune public et les adolescents.
Hip hop et quête chevaleresque dans une ville ré-imaginée : le visuel de l’événement amitionne de toucher au coeur le jeune public et les adolescents.
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STUDIO ZONE 51

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