ODPAAM
PROJET : Création de l'identité d'un magazine trilingue (français, anglais, hébreu) dédié à l'art, la culture et la société israéliennes, avec un principe éditorial constitué autour de trois axes : portraits, collaborations transdiciplinaires et internationales initiées par le magazine, présentation du fruit de ces collaborations lors d'événements labellisés « Odpaam ». À chaque numéro, un illustrateur est invité à réaliser la couverture. J'ai réalisé un principe de grille, le principe de couverture, la charte graphique et typographique globale, la mise en page des articles, ainsi que le traitement sur les images. Le logotype d'Odpaam a été réalisé par Mat Cerato, du collectif Bison Bleu < bison-bleu.com >.
ODPAAM ? Mot hébreu francisé qui signifie « Encore une fois », « C'est reparti » ou encore « Et on recommence ».


Page de gauche : deuxième de couv' avec présentation de l'illustrateur invité. Page de droite : ours.



Page Focus

Pages Portrait : Osog, groupe de folk israélien en pleine ascension.


Pages Portrait : Navonel Glick, à la tête de l'ONG humanitaire IsraAID.











J’ai souhaité installer le principe systématique d’organisation de l’information autour d’une fenêtre circulaire, dans et de laquelle surgit l’illustration de couverture. Cette fenêtre circulaire (le « O » d’Odpaam) revendique une forme de douceur, de tolérance, et l’ouverture « oecuménique » du cercle, forme à l’oeuvre dans l’ensemble de la charte du magazine.
Si la focalisation sur la culture israëlienne et la diaspora juive est assumée, Odpaam ambitionne l’ouverture au monde, des contributions politiquement divergentes, une curiosité sans limites et une forme d’anti-communautarisme. La large place laissée aux illustrateurs et aux contributeurs indépendants permet d’aiguiser notre regard sur la société israëlienne, ses aspirations et ses contradictions.
Si la focalisation sur la culture israëlienne et la diaspora juive est assumée, Odpaam ambitionne l’ouverture au monde, des contributions politiquement divergentes, une curiosité sans limites et une forme d’anti-communautarisme. La large place laissée aux illustrateurs et aux contributeurs indépendants permet d’aiguiser notre regard sur la société israëlienne, ses aspirations et ses contradictions.