XTRATERRESTRIAL
COMMANDITAIRE : édition du studio.
PROJET : À la croisée de la recherche artistique, de la vulgarisation scientifique, du game design et du pur exercice de style, XTRATERRESTRIAL est avant tout une série à vocation onirique. Les prises de vue, exclusivement insulaires, ont originellement été constituées sur des îles éparses de notre planète Terre : Magnetic Island (mer de Corail, Australie orientale), les îles sud et nord de la Nouvelle-Zélande (mer de Tasman), La Réunion (océan Indien) et la Corse (mer Méditerranée).
Parallèlement au travail de documentation que j’effectuais sur les exoplanètes, les photographies sélectionnées ont ensuite été retouchées et compositées pour représenter un paysage extra-terrestre rêvé correspondant aux conditions d’une exoplanète donnée, à la fois tellurique et propice à la vie. Aucune IA n’a été utilisée pour produire ces images.
PROJET : À la croisée de la recherche artistique, de la vulgarisation scientifique, du game design et du pur exercice de style, XTRATERRESTRIAL est avant tout une série à vocation onirique. Les prises de vue, exclusivement insulaires, ont originellement été constituées sur des îles éparses de notre planète Terre : Magnetic Island (mer de Corail, Australie orientale), les îles sud et nord de la Nouvelle-Zélande (mer de Tasman), La Réunion (océan Indien) et la Corse (mer Méditerranée).
Parallèlement au travail de documentation que j’effectuais sur les exoplanètes, les photographies sélectionnées ont ensuite été retouchées et compositées pour représenter un paysage extra-terrestre rêvé correspondant aux conditions d’une exoplanète donnée, à la fois tellurique et propice à la vie. Aucune IA n’a été utilisée pour produire ces images.


































HYPERTHERMOPLANÈTE : planète dont la température moyenne en surface est supérieure à 100°C.
THERMOPLANÈTE : planète dont la température moyenne en surface est comprise entre 50°C et 100°C.
MÉSOPLANÈTE : planète dont la température moyenne en surface est comprise entre 0°C et 50°C.
PSYCHROPLANÈTE : planète dont la température moyenne en surface est comprise entre -50°C et 0°C. HYPOPSYCHROPLANÈTE : planète dont la température moyenne en surface est inférieure à -50°C.
Planète à la densité élevée composée essentiellement de roches et de métal qui possède en général trois enveloppes concentriques (noyau, manteau et croûte). Contrairement aux planètes gazeuses, sa surface est solide et constituée principalement de matériaux non volatils, généralement des roches silicatées et du fer métallique.
Exoplanète tellurique ayant une masse inférieure à celle de la Terre. La limite supérieure est généralement placée à un diamètre de 0,8 diamètre terrestre (environ 10 000 km) ou une masse de 0,5 masse terrestre (environ 3 × 1024 kg), les deux limites étant équivalentes en supposant une structure analogue à la Terre.
Exoplanète tellurique ayant une masse équivalente à celle de la Terre et par conséquent, un diamètre à peu près équivalent. Théoriquement, il existe deux types de planètes telluriques ou rocheuses : l'une dominée par des composés de silicium (planètes silicatées) et l'autre dominée par des composés de carbone (planètes carbonées ou « planètes de diamant »). Les quatre planètes telluriques du système solaire, Mercure, Vénus, la Terre et Mars sont toutes du premier type.
Exoplanète tellurique ayant une masse comprise entre celle de la Terre et celle d'une géante gazeuse avec une limite supérieure de dix fois la masse de la Terre, la limite inférieure variant entre un et cinq fois la masse de la Terre, selon les sources.
ZONE D’HABITABILTÉ : Région périphérique autour d’une étoile, située à une distance idéale pour l’existence d’eau sous forme liquide à la surface d’une planète ou d’une lune, l’eau étant considérée comme l’élément primordial pour le développement des formes de vie telles que nous les connaissons sur la Terre. Avec les développements récents de l'astrophysique, le concept de monde habitable s'élargit néanmoins considérablement. La découverte de conditions potentiellement favorables à l’apparition de la vie sur des lunes comme Europe (Jupiter) ou Titan (Saturne), qui sont situées largement en dehors de la zone d’habitabilité théorique du Système solaire, vient réévaluer la pertinence d'une recherche de vie extra-terrestre selon des critères exclusivement compatibles avec la vie sur notre planète.
PSYCHROPLANÈTE : planète dont la température moyenne en surface est comprise entre -50°C et 0°C. HYPOPSYCHROPLANÈTE : planète dont la température moyenne en surface est inférieure à -50°C.
PLANÈTE TELLURIQUE
SUB-TERRIENNE
TERRIENNE
SUPER-TERRIENNE
ZONE D’HABITABILTÉ : Région périphérique autour d’une étoile, située à une distance idéale pour l’existence d’eau sous forme liquide à la surface d’une planète ou d’une lune, l’eau étant considérée comme l’élément primordial pour le développement des formes de vie telles que nous les connaissons sur la Terre. Avec les développements récents de l'astrophysique, le concept de monde habitable s'élargit néanmoins considérablement. La découverte de conditions potentiellement favorables à l’apparition de la vie sur des lunes comme Europe (Jupiter) ou Titan (Saturne), qui sont situées largement en dehors de la zone d’habitabilité théorique du Système solaire, vient réévaluer la pertinence d'une recherche de vie extra-terrestre selon des critères exclusivement compatibles avec la vie sur notre planète.


XTRATERRESTRIAL ? Avec les progrés techniques de l’astrophysique au XXIème siècle et les incroyables périples spatiaux réalisés par nos récents satellites, la connaissance humaine de l’univers connu a fait un pas de géant.
Depuis 2011, nos scientifiques ont découvert une centaine d’exoplanètes (planètes extérieures à notre système solaire) propices à acueillir la vie ou à la voir s’y développer. Ce sont des planètes de type terrestres - telluriques avec une croûte solide et une atmosphère - et qui ont bénéficié d’une luminosité restée stable durant des milliards d’années, grâce à une étoile située dans une zone annulaire comparable à celle de la Terre et de son Soleil.
Si la lumière et l’eau ne sont pas forcément les seules conditions propices à la vie, ce sont aujourd’hui les seules qui nous sont familières pour comprendre l’apparition et le maintien des conditions nécessaires au développement d’organismes unicellulaires puis multicellulaires de plus en plus complexes. Mais la vie extra-terrestre a très probablement pris des formes et joué de conditions qui nous sont proprement impensables... alors faisons oeuvre d’imagination !
Cet explore game imagine 16 de ces planètes de type terrestres et les structure selon 3 x 5 catégories, en fonction de leur masse et de leur température moyenne en surface. Situées à des distances absolument incommensurables, la plus proche de notre Terre est à 4,24 al (années lumière) , quand la plus lointaine est à 3265 al.


UN EXPLORE GAME IMMERSIF À LA DÉCOUVERTE DE MONDES LOINTAINS & INCONNUS
2 JOUEURS, 32 CARTES, 16 FACES INFORMATIVES ET 16 DOS ILLUSTRATIFS, 16 PAIRES À RETROUVER ET À COLLECTER.
8 EXOPLANÈTES AUX CONDITIONS LES MOINS PROPICES... 8 EXOPLANÈTES AUX CONDITIONS LES PLUS PROPICES !
2 joueurs face à face, un jeu de 32 cartes réparti au hasard, 16 faces informatives + 16 dos illustratifs, 16 paires à retrouver et à collecter,chaque joueur ne voit que le dos du jeu adverse et les symboles qui le composent.
Tour à tour, les joueurs désignent dans le jeu de l’autre une carte au symbole qui complétera la carte au même symbole dans son propre jeu.
Cette dernière étant posée à plat, et ainsi mise en jeu. Si la carte « appelée » est celle de la même exoplanète que celle dans son propre jeu, le joueur gagne la carte désignée dans le jeu adverse et l’intègre à son jeu. Si l’exoplanète n’est pas la même, le joueur perd sa carte mise en jeu au profit de l’autre joueur.
Les 8 cartes du cercle intérieur (exoplanètes aux conditions les plus propices à la vie) peuvent être « appelées » en toutes circonstances.les 8 cartes du cercle extérieur (exoplanètes aux conditions les moins propices à la vie) ne peuvent être « appelées » que si le joueur a constitué 3 paires de cartes du cercle intérieur à la suite.
Un joueur peut « appeler » des cartes tant qu’il gagne, le vainqueur est celui qui possède le plus de paires de cartes lorsque toutes les paires ont enfin été reconstituées !
8 EXOPLANÈTES AUX CONDITIONS LES MOINS PROPICES... 8 EXOPLANÈTES AUX CONDITIONS LES PLUS PROPICES !
2 joueurs face à face, un jeu de 32 cartes réparti au hasard, 16 faces informatives + 16 dos illustratifs, 16 paires à retrouver et à collecter,chaque joueur ne voit que le dos du jeu adverse et les symboles qui le composent.
Tour à tour, les joueurs désignent dans le jeu de l’autre une carte au symbole qui complétera la carte au même symbole dans son propre jeu.
Cette dernière étant posée à plat, et ainsi mise en jeu. Si la carte « appelée » est celle de la même exoplanète que celle dans son propre jeu, le joueur gagne la carte désignée dans le jeu adverse et l’intègre à son jeu. Si l’exoplanète n’est pas la même, le joueur perd sa carte mise en jeu au profit de l’autre joueur.
Les 8 cartes du cercle intérieur (exoplanètes aux conditions les plus propices à la vie) peuvent être « appelées » en toutes circonstances.les 8 cartes du cercle extérieur (exoplanètes aux conditions les moins propices à la vie) ne peuvent être « appelées » que si le joueur a constitué 3 paires de cartes du cercle intérieur à la suite.
Un joueur peut « appeler » des cartes tant qu’il gagne, le vainqueur est celui qui possède le plus de paires de cartes lorsque toutes les paires ont enfin été reconstituées !




















































POUR ALLER PLUS LOIN : La « zone d’habitabilité » est cette zone annulaire théorique entourant chaque étoile, des planètes de type terrestres - des planètes telluriques avec une croûte solide et une atmosphère, donc - pourraient y connaître des conditions potentiellement favorables à l’apparition et au développement de la vie, et ce durant une période suffisamment longue (plusieurs milliards d’années) pour l’émergence et l’épanouissement d’organismes unicellulaires puis multicellulaires de plus en plus complexes.
Ce concept est cependant questionné depuis une dizaine d’années : « Pour être habitable, un monde (planète ou lune) n’a pas besoin de se situer dans la zone d’habitabilité d’une étoile. De même, un monde circulant dans cette zone d’habitabilité n’est pas nécessairement habitable. » C’est par cette assertion liminaire, dans un article paru dans la revue Astrobiology en 2014, que René Heller (McMaster University, Hamilton, Ontario, Canada) et John Armstrong (Weber State University, Ogden, Utah, États-Unis) introduisent et proposent le concept de « mondes super habitables ». En effet, ils considèrent qu’il y a trop souvent une confusion entre zone d’habitabilité et planète habitable, et que les recherches d’exoplanètes habitables se basent aujourd’hui exclusivement ou presque, sur des caractéristiques terrestres... Le concept de monde habitable devrait être donc considérablement élargi. Mieux, Heller et Armstrong suggèrent que certains mondes - en particulier, les Super-Terres, deux ou trois fois plus massives que notre planète - seraient bien plus habitables que la Terre. Il faudrait donc étendre nos critères de recherches en conséquence. Faire preuve de plus d’imagination, en quelque sorte.
Guillaume Cannat, en 2014 dans Autour du ciel, résume ainsi la problématique épistémologique qui sous-tend l’évolution de la notion de monde habitable : « D’une part, la notion de zone d’habitabilité est intrinsèquement liée à notre compréhension de l’apparition de la vie sur notre planète qui, jusqu’à preuve du contraire, est notre seul exemple de monde habitable et habité. Si nous devions découvrir un jour que la vie peut apparaître et se développer durablement dans des milieux radicalement différents de celui ou de ceux que nous connaissons sur Terre, cela bouleverserait profondément cette notion.
D’autre part, la définition de la zone d’habitabilité s’est prodigieusement complexifiée au fil des années pour tenir compte d’une quantité croissante de facteurs physiques, chimiques ou astronomiques, si bien que l’idée même d’une zone d’habitabilité unique dans un système planétaire perd peu à peu de sa pertinence. La découverte de conditions qui pourraient être favorables à l’apparition de la vie sur des lunes comme Europe (Jupiter) ou Titan (Saturne), qui sont situées largement en dehors de la zone d’habitabilité théorique du Système solaire, renforce ce point. »
Il poursuit : « René Heller et John Armstrong estiment que des exoplanètes telluriques 2 à 3 fois plus massives que la Terre seraient potentiellement plus habitables. Ces « super-Terres » bénéficieraient d’une période d’activité tectonique plus longue, ce qui est indispensable pour réguler le taux de dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère et donc l’effet de serre que celui-ci engendre (en l’absence de toute intervention humaine). Elles auraient un champ magnétique plus intense assurant une bonne protection contre les rayonnements cosmiques et stellaires très énergétiques, une capacité à conserver longtemps une atmosphère un peu plus épaisse et une plus grande superficie de terres émergées et de mers. Sur ce point, les auteurs suggèrent que les planètes avec de nombreux petits continents dispersés dans des océans seraient probablement plus habitables que celles qui arborent seulement un ou deux supercontinents.
Ils relèvent qu’une température de surface légèrement supérieure à celle de la Terre serait probablement bénéfique, et soulignent que l’existence de plusieurs mondes habitables dans un même système planétaire pourrait accroître l’habitabilité de chacun grâce aux échanges de matières provoqués par les impacts cométaires et météoritiques.
Enfin, ils précisent que plus un monde habitable est âgé, plus la probabilité qu’il soit habité croît, et que, plus il est habité, plus son habitabilité et sa biodiversité augmentent, car les formes de vie modifient progressivement l’environnement à leur avantage (modifications apportées en douceur sur des centaines de millions d’années par des formes de vie simples et non intelligentes et non pas brutalement sur un très bref laps de temps par une espèce industrieuse)… »
Guillaume Cannat conclut ainsi : « Même si la vie est apparue rapidement sur notre planète, en quelques centaines de millions d’années, une maturation de plusieurs milliards d’années semble avoir été nécessaire pour voir émerger des espèces intelligentes. Cette notion de durée permet de sélectionner les étoiles autour desquelles la probabilité de détecter des planètes habitables, voire habitées, serait la plus grande. Les recherches autour d’étoiles dont la luminosité reste stable durant des milliards d’années, celles de type spectral G, K ou M (le Soleil est de type spectral G), devraient ainsi être privilégiées. »
Ce concept est cependant questionné depuis une dizaine d’années : « Pour être habitable, un monde (planète ou lune) n’a pas besoin de se situer dans la zone d’habitabilité d’une étoile. De même, un monde circulant dans cette zone d’habitabilité n’est pas nécessairement habitable. » C’est par cette assertion liminaire, dans un article paru dans la revue Astrobiology en 2014, que René Heller (McMaster University, Hamilton, Ontario, Canada) et John Armstrong (Weber State University, Ogden, Utah, États-Unis) introduisent et proposent le concept de « mondes super habitables ». En effet, ils considèrent qu’il y a trop souvent une confusion entre zone d’habitabilité et planète habitable, et que les recherches d’exoplanètes habitables se basent aujourd’hui exclusivement ou presque, sur des caractéristiques terrestres... Le concept de monde habitable devrait être donc considérablement élargi. Mieux, Heller et Armstrong suggèrent que certains mondes - en particulier, les Super-Terres, deux ou trois fois plus massives que notre planète - seraient bien plus habitables que la Terre. Il faudrait donc étendre nos critères de recherches en conséquence. Faire preuve de plus d’imagination, en quelque sorte.
Guillaume Cannat, en 2014 dans Autour du ciel, résume ainsi la problématique épistémologique qui sous-tend l’évolution de la notion de monde habitable : « D’une part, la notion de zone d’habitabilité est intrinsèquement liée à notre compréhension de l’apparition de la vie sur notre planète qui, jusqu’à preuve du contraire, est notre seul exemple de monde habitable et habité. Si nous devions découvrir un jour que la vie peut apparaître et se développer durablement dans des milieux radicalement différents de celui ou de ceux que nous connaissons sur Terre, cela bouleverserait profondément cette notion.
D’autre part, la définition de la zone d’habitabilité s’est prodigieusement complexifiée au fil des années pour tenir compte d’une quantité croissante de facteurs physiques, chimiques ou astronomiques, si bien que l’idée même d’une zone d’habitabilité unique dans un système planétaire perd peu à peu de sa pertinence. La découverte de conditions qui pourraient être favorables à l’apparition de la vie sur des lunes comme Europe (Jupiter) ou Titan (Saturne), qui sont situées largement en dehors de la zone d’habitabilité théorique du Système solaire, renforce ce point. »
Il poursuit : « René Heller et John Armstrong estiment que des exoplanètes telluriques 2 à 3 fois plus massives que la Terre seraient potentiellement plus habitables. Ces « super-Terres » bénéficieraient d’une période d’activité tectonique plus longue, ce qui est indispensable pour réguler le taux de dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère et donc l’effet de serre que celui-ci engendre (en l’absence de toute intervention humaine). Elles auraient un champ magnétique plus intense assurant une bonne protection contre les rayonnements cosmiques et stellaires très énergétiques, une capacité à conserver longtemps une atmosphère un peu plus épaisse et une plus grande superficie de terres émergées et de mers. Sur ce point, les auteurs suggèrent que les planètes avec de nombreux petits continents dispersés dans des océans seraient probablement plus habitables que celles qui arborent seulement un ou deux supercontinents.
Ils relèvent qu’une température de surface légèrement supérieure à celle de la Terre serait probablement bénéfique, et soulignent que l’existence de plusieurs mondes habitables dans un même système planétaire pourrait accroître l’habitabilité de chacun grâce aux échanges de matières provoqués par les impacts cométaires et météoritiques.
Enfin, ils précisent que plus un monde habitable est âgé, plus la probabilité qu’il soit habité croît, et que, plus il est habité, plus son habitabilité et sa biodiversité augmentent, car les formes de vie modifient progressivement l’environnement à leur avantage (modifications apportées en douceur sur des centaines de millions d’années par des formes de vie simples et non intelligentes et non pas brutalement sur un très bref laps de temps par une espèce industrieuse)… »
Guillaume Cannat conclut ainsi : « Même si la vie est apparue rapidement sur notre planète, en quelques centaines de millions d’années, une maturation de plusieurs milliards d’années semble avoir été nécessaire pour voir émerger des espèces intelligentes. Cette notion de durée permet de sélectionner les étoiles autour desquelles la probabilité de détecter des planètes habitables, voire habitées, serait la plus grande. Les recherches autour d’étoiles dont la luminosité reste stable durant des milliards d’années, celles de type spectral G, K ou M (le Soleil est de type spectral G), devraient ainsi être privilégiées. »