Broken Sound Machine :
singles, covers & remixes
in 2023
COMMANDITAIRE : Alek Tahora / Broken Sound Machine < broken-sound-machine.bandcamp.com >
PROJET : Dans le cadre de la collaboration entre le studio et Broken Sound Machine, j’ai réalisé en 2023 le cover art des tout premiers singles, reprises et remixes de l’artiste de musique électronique basé à Paris. Ce premier travail de production fait suite à l’élaboration d’une charte graphique complète (< visible ici >), ainsi qu’aux recherches graphiques exhaustives réalisées en 2022 pour définir son imaginaire visuel (< visible ici >). J’ai pu travailler sur le temps long avec Alek pour créer une identité au plus près de sa vision musicale, de ses nombreuses références visuelles, et dans laquelle je pouvais néanmoins exprimer pleinement ma grammaire artistique. De ce point de vue, les correspondances entre musique et image manifestent une profonde intrication, donc une vraie réussite.
PROJET : Dans le cadre de la collaboration entre le studio et Broken Sound Machine, j’ai réalisé en 2023 le cover art des tout premiers singles, reprises et remixes de l’artiste de musique électronique basé à Paris. Ce premier travail de production fait suite à l’élaboration d’une charte graphique complète (< visible ici >), ainsi qu’aux recherches graphiques exhaustives réalisées en 2022 pour définir son imaginaire visuel (< visible ici >). J’ai pu travailler sur le temps long avec Alek pour créer une identité au plus près de sa vision musicale, de ses nombreuses références visuelles, et dans laquelle je pouvais néanmoins exprimer pleinement ma grammaire artistique. De ce point de vue, les correspondances entre musique et image manifestent une profonde intrication, donc une vraie réussite.
À gauche : le single « Tireless Devourer », avec une version heavy metal 80’s du logotype Broken Sound Machine.
À droite : « Synthwave is dead », excellent remix du groupe français de darksynth We Are Magonia,
logo identique et typo rouge sang toujours 80’s, entre slasher et giallo.
À droite : « Synthwave is dead », excellent remix du groupe français de darksynth We Are Magonia,
logo identique et typo rouge sang toujours 80’s, entre slasher et giallo.
BROKEN SOUND MACHINE ? Broken Sound Machine est un artiste de musique électronique basé à Paris, et qui évolue aux marges de la French Touch. Il cultive un Romantisme noir sous stéroïdes cyberpunks, ses influences sont donc bruyantes, sombres et vénéneuses : synthwave, darksynth, synthpunk, darkwave, coldwave, EDM et house, d'une part, metal industriel, black metal et death metal progressif, d'autre part. Ses apôtres du chaos sont Carpenter Brut, Perturbator, Mick Gordon, Nine Inch Nails, The Prodigy, mais aussi Depeche Mode ! Sa signature sonore est une ambiance habitée - ou plutôt hantée - des années 80, mêlée à des synthés de basse distordus et des extraits analogiques malmenés jusqu’au déchirement.
Série de jeux vidéo parue à partir de 1986 sur Nintendo, Castlevania est considérée comme l’une des plus importantes.
Broken Sound Machine en reprend l’un des thèmes musicaux les plus connus, « Bloody Tears ».
En m’appuyant sur les arrangements rétro-futuristes, j’imagine cette vampire diaphane et cyberpunk.
Broken Sound Machine en reprend l’un des thèmes musicaux les plus connus, « Bloody Tears ».
En m’appuyant sur les arrangements rétro-futuristes, j’imagine cette vampire diaphane et cyberpunk.
À gauche : version vinyle de « Bloody Tears ». À droite : cover art du single « Take me to your leader »
« Take me to your leader », format vidéo.
Ma créa est un hommage inversé (sataniste ?!?) à l’icônique pochette du « Master of Puppets » (1986) de Metallica.
Ma créa est un hommage inversé (sataniste ?!?) à l’icônique pochette du « Master of Puppets » (1986) de Metallica.
Avec ces quatre visuels, le territoire visuel du projet Broken Sound Machine a été dessiné : un fond noir passé avec du grain pellicule, un sujet centré dans une composition symétrique, des couleurs emblématiques de la synthwave (du bleu nuit au rose, en passant par le violet), une référence constante aux années 80 et à ses productions culturelles de marge (cyberpunk, horreur, metal, jeux video), une imprégnation du sacré religieux
ou de ses contrepoints maléfiques (la foudre de Zeus / le châtiment divin, la femme fatale spectre et/ou vampire, la croix inversée, ou encore la gestuelle de la prière).